Without surprise, less than 13 hours after US president left Northeast Asia, Democratic People’s Republic of Korea (DPRK)  launched a volley of what seemed to be ballistic missiles including the biggest intercontinental ballistic missile in the North Korean arsenal.

At least one of the launched projectiles reached a maximal altitude of 540 km and a range of about 360 km. The other missiles seem to be Short Range Ballistic Missiles (SRBM) or even long range rockets fired from an unknown MLRS.

A little earlier, Chinese and Russian military Aircraft conducted a 13 hours joint patrol in Asia-Pacific for the first time since the beginning of the Russian military operations in Ukraine in what it appeared as a clear and non coded message to the Biden administration.

The Chinese bombers Xian H-6 and Russian bombers Tupolev Tu-95 flew in the Asia-Pacific region the same day as US president Joe Biden, Japanese Prime minister Fumio Kishida, Indian Prime minister Narendra Modi and the newly elected Australian Prime minister Anthony Albanese were meeting in Tokyo, Japan to focus exclusively on North Korea.

The Quad (US-Australia-India-Japan) Summit is perceived as openly hostile by the DPRK. It is also perceived as an unfriendly move by both China and Russia.

As a reaction, the United States and the Republic of Korea (ROK) conducted military drills in South Korea and Japan conveyed “grave concerns” to Both Beijing and Moscow through diplomatic channels.

The Chinese and Russian bombers entered several times the South Korean and Japanese Air Defense Identification Zone (ADIZ). China said it was a routine annual exercise while Russia kept silent about the drill. Nevertheless, it seems both countries are more than angered by US efforts to mobilize Asian allies in a warlike effort to counter the two powers, perceived as ‘revisionist powers’ in Washington, ie powers which want to change the so-called World Order dominated by what we call now the ‘Collective West’ (actually closed oligarchies).

This is the first time Beijing, Moscow and Pyongyang express collectively their opposition to Washington’s political and strategic maneuvers in Asia-Pacific theater and more specifically in Northeastern Asia.

Washington is working hard to break in the bilateral relations between Russia and India, two member State of the BRICS, an acronym coined to associate Brazil, Russia, India, China and South Africa. At the same time, territorial disputes between China and India are watched as a unique opportunity to enhance a proxy deterrence against China in Asia but the Indian leadership is more concerned about the huge economy needs of its populations and above all keeping an approximate stability within the South Asian country and to avoid at all costs the fate of neighboring Sri Lanka, which is facing bankruptcy and lack of vital commodities like gas.

10 thoughts on “China, North Korea and Russia clear message to the Quad

  1. Je suis tombé sur cette info
    https://timesofindia.indiatimes.com/world/china/explosive-audio-leak-details-chinas-plan-to-invade-taiwan/articleshow/91740273.cms
    Il s’agit d’un audio d’un meeting de coordination de la province de Guangdong, celle située en face de Taiwan qui décrit le détail des préparatifs de l’invasion de Taiwan sous un angle civil.
    http://timesofindia.indiatimes.com/articleshow/91740273.cms?utm_source=contentofinterest&utm_medium=text&utm_campaign=cppst
    Apparement donc, la Chine se prépare à envahir Taiwan dans les deux mois. Les plans sont très avancés et impliquent la mobilisation des forces économiques pour supporter l’effort de guerre. Si c’est un hoax, c’est très élaboré et on est plutôt dans l’intoxication ou la psypos dans ce cas. Votre avis ?
    C’est crédible à mon sens; Taiwan est non négociable pour les Chinois, l’aide US et le réarmement de l’ile peuvent pousser la Chine à agir. Mêmes causes et mêmes effets que pour l’Ukraine …

  2. De la part de Henry Kinssinger c’est quand même surprenant ❗️❗️❗️

    L’ancien secrétaire d’État américain Henry Kissinger a averti l’Occident de sa tentative continue d’assener une défaite aux forces russes en Ukraine, notant que cela aurait de « graves conséquences » pour la stabilité de l’Europe à long terme.

    Dans son intervention au Forum de Davos le lundi 23 mai, Kissinger a évoqué « le statut de la Russie dans l’équilibre européen des pouvoirs », notant que « Moscou faisait partie essentielle de l’Europe depuis 400 ans et a été le garant de l’équilibre des pouvoirs en Europe dans des moments critiques ».

    Pour l’ancien chef de la diplomatie US, « l’Ukraine doit céder certaines terres à la Russie », afin de mettre fin à la guerre.

    Après avoir dit que les pays occidentaux devraient se souvenir de l’importance de la Russie pour l’Europe et de ne pas se laisser emporter « par l’humeur du moment », Kissinger a sommé l’Occident à contraindre l’Ukraine à accepter de s’asseoir sur la table des négociations avec la Russie, même si les conditions de négociations sont inférieures aux objectifs établis pour sortir de la guerre.

    Et de souligner : « la situation appropriée pour l’Ukraine est la neutralité, afin de servir comme pont entre la Russie et l’Europe ».

    Kissinger a en outre exhorté les dirigeants occidentaux à ne pas pousser la Russie à entrer dans une alliance permanente avec la Chine ».

      1. En quelques sortes.
        C’est le fameux slogan.
        Divisés pour affaiblir et mieux régné.
        Isolé la Russie de la Chine et vis et versa.
        Pour mieux les démembré distinctement.
        Je n’y avais pas pensé.
        Autant pour moi.

  3. Peut-être que la fin du conflit est proche ❗️

    L’ancien secrétaire d’État américain Henry Kissinger a averti l’Occident de sa tentative continue d’assener une défaite aux forces russes en Ukraine, notant que cela aurait de « graves conséquences » pour la stabilité de l’Europe à long terme.

    Dans son intervention au Forum de Davos le lundi 23 mai, Kissinger a évoqué « le statut de la Russie dans l’équilibre européen des pouvoirs », notant que « Moscou faisait partie essentielle de l’Europe depuis 400 ans et a été le garant de l’équilibre des pouvoirs en Europe dans des moments critiques ».

    Pour l’ancien chef de la diplomatie US, « l’Ukraine doit céder certaines terres à la Russie », afin de mettre fin à la guerre.

    Après avoir dit que les pays occidentaux devraient se souvenir de l’importance de la Russie pour l’Europe et de ne pas se laisser emporter « par l’humeur du moment », Kissinger a sommé l’Occident à contraindre l’Ukraine à accepter de s’asseoir sur la table des négociations avec la Russie, même si les conditions de négociations sont inférieures aux objectifs établis pour sortir de la guerre.

    Et de souligner : « la situation appropriée pour l’Ukraine est la neutralité, afin de servir comme pont entre la Russie et l’Europe ».

    Kissinger a en outre exhorté les dirigeants occidentaux à ne pas pousser la Russie à entrer dans une alliance permanente avec la Chine ».

  4. Depuis mille ans que la Russie mène des combats existentiels contre l’Occident, jamais la Russie n’a été dans une position si favorable. Sa position sur le plan global, approvisionnement de sa population, ingénierie, appareil industriel, alliance avec un super poids lourd, supériorité militaire tactique, et avec une maîtrise de l’escalade jusqu’au stratégique est tout simplement sans précédent. Il ne vont pas laisser l’occident collectif acquérir des missiles supersoniques avant de vider le fond de la querelle. La guerre hybride globale va continuer et même connaître une recrudescence. Je ne vois pas comment le gang de Davos et ses assets matériels pourrait ne pas être démantelés. Comment c’est le défi de Poutine et des chinois. La guerre bactériologique visent pas seulement les populations mais aussi les végétaux agricoles. Tuer les populations par la maladie et par la famine voilà leur objectif. Poutine et les russes vont devenir aussi célèbre que les Nazi mais pas par leurs crimes mais par la sécurité sur le long terme qu’ils sont en train d’apporter à toutes la planète.

    1. le sfps qui est une alternative demande intel pentium 4 et un systeme d’exploitation au minimum windows 8 ce qui est une faiblesse> https://www.cbr.ru/Content/Document/File/71214/Software_recommendations.pdf

      Un nouveau delire du pdg d’alibaba en plein forum: “le PDG d’Alibaba présente le futur système de rationnement climatique. Le président du groupe Alibaba, J. Michael Evans, s’est vanté, lors du Forum économique mondial, de la mise au point d’un « traceur d’empreinte carbone individuel » permettant de surveiller ce que vous achetez, ce que vous mangez et où/comment vous voyagez.

      https://cutt.ly/cH9pIL9

  5. Petite traduction DeepL :

    Sans surprise, moins de 13 heures après le départ du président américain d’Asie du Nord-Est, la République populaire démocratique de Corée (RPDC) a lancé une volée de ce qui semble être des missiles balistiques, dont le plus gros missile balistique intercontinental de l’arsenal nord-coréen.

    Au moins un des projectiles lancés a atteint une altitude maximale de 540 km et une portée d’environ 360 km. Les autres missiles semblent être des missiles balistiques à courte portée (SRBM) ou même des roquettes à longue portée tirées par un MLRS inconnu.

    Un peu plus tôt, des avions militaires chinois et russes ont effectué une patrouille conjointe de 13 heures en Asie-Pacifique pour la première fois depuis le début des opérations militaires russes en Ukraine, dans ce qui apparaît comme un message clair et non codé à l’administration Biden.

    Les bombardiers chinois Xian H-6 et russes Tupolev Tu-95 ont volé dans la région Asie-Pacifique le jour même où le président américain Joe Biden, le Premier ministre japonais Fumio Kishida, le Premier ministre indien Narendra Modi et le Premier ministre australien nouvellement élu Anthony Albanese se réunissaient à Tokyo, au Japon, pour se concentrer exclusivement sur la Corée du Nord.

    Le sommet quadrilatéral (États-Unis-Australie-Inde-Japon) est perçu comme ouvertement hostile par la RPDC. Il est également perçu comme une démarche inamicale par la Chine et la Russie.

    En réaction, les États-Unis et la République de Corée ont effectué des exercices militaires en Corée du Sud et le Japon a fait part de ses “graves préoccupations” à Pékin et à Moscou par voie diplomatique.

    Les bombardiers chinois et russes ont pénétré à plusieurs reprises dans la zone d’identification de défense aérienne (ADIZ) sud-coréenne et japonaise. La Chine a déclaré qu’il s’agissait d’un exercice annuel de routine, tandis que la Russie a gardé le silence sur cet exercice. Néanmoins, il semble que les deux pays soient plus qu’irrités par les efforts déployés par les États-Unis pour mobiliser les alliés asiatiques dans un effort de guerre pour contrer les deux puissances, perçues comme des “puissances révisionnistes” à Washington, c’est-à-dire des puissances qui veulent changer le soi-disant ordre mondial dominé par ce que nous appelons aujourd’hui l'”Occident collectif” (en réalité des oligarchies fermées).

    C’est la première fois que Pékin, Moscou et Pyongyang expriment collectivement leur opposition aux manœuvres politiques et stratégiques de Washington sur le théâtre Asie-Pacifique et plus particulièrement en Asie du Nord-Est.

    Washington s’efforce de briser les relations bilatérales entre la Russie et l’Inde, deux États membres des BRICS, un acronyme qui associe le Brésil, la Russie, l’Inde, la Chine et l’Afrique du Sud. Dans le même temps, les différends territoriaux entre la Chine et l’Inde sont considérés comme une occasion unique de renforcer la dissuasion par procuration contre la Chine en Asie, mais les dirigeants indiens sont davantage préoccupés par les besoins économiques considérables de leurs populations et, surtout, par le maintien d’une stabilité approximative au sein du pays d’Asie du Sud, afin d’éviter à tout prix le sort du Sri Lanka voisin, qui est confronté à la faillite et au manque de produits de base vitaux comme le gaz.

  6. Sans surprise, moins de 13 heures après le départ du président américain d’Asie du Nord-Est, la République populaire démocratique de Corée (RPDC) a lancé une volée de ce qui semble être des missiles balistiques, dont le plus gros missile balistique intercontinental de l’arsenal nord-coréen.

    Au moins un des projectiles lancés a atteint une altitude maximale de 540 km et une portée d’environ 360 km. Les autres missiles semblent être des missiles balistiques à courte portée (SRBM) ou même des roquettes à longue portée tirées par un MLRS inconnu.

    Un peu plus tôt, des avions militaires chinois et russes ont effectué une patrouille conjointe de 13 heures en Asie-Pacifique pour la première fois depuis le début des opérations militaires russes en Ukraine, dans ce qui apparaît comme un message clair et non codé à l’administration Biden.

    Les bombardiers chinois Xian H-6 et russes Tupolev Tu-95 ont volé dans la région Asie-Pacifique le jour même où le président américain Joe Biden, le Premier ministre japonais Fumio Kishida, le Premier ministre indien Narendra Modi et le Premier ministre australien nouvellement élu Anthony Albanese se réunissaient à Tokyo, au Japon, pour se concentrer exclusivement sur la Corée du Nord.

    Le sommet quadrilatéral (États-Unis-Australie-Inde-Japon) est perçu comme ouvertement hostile par la RPDC. Il est également perçu comme une démarche inamicale par la Chine et la Russie.

    En réaction, les États-Unis et la République de Corée ont procédé à des exercices militaires en Corée du Sud et le Japon a fait part de ses “graves préoccupations” à Pékin et à Moscou par voie diplomatique.

    Les bombardiers chinois et russes ont pénétré à plusieurs reprises dans la zone d’identification de défense aérienne (ADIZ) sud-coréenne et japonaise. La Chine a déclaré qu’il s’agissait d’un exercice annuel de routine, tandis que la Russie a gardé le silence sur cet exercice. Néanmoins, il semble que les deux pays soient plus qu’irrités par les efforts déployés par les États-Unis pour mobiliser les alliés asiatiques dans un effort de guerre pour contrer les deux puissances, perçues comme des “puissances révisionnistes” à Washington, c’est-à-dire des puissances qui veulent changer le soi-disant ordre mondial dominé par ce que nous appelons aujourd’hui l’”Occident collectif” (en réalité des oligarchies fermées).

    C’est la première fois que Pékin, Moscou et Pyongyang expriment collectivement leur opposition aux manœuvres politiques et stratégiques de Washington sur le théâtre Asie-Pacifique et plus particulièrement en Asie du Nord-Est.

    Washington s’efforce de briser les relations bilatérales entre la Russie et l’Inde, deux États membres des BRICS, un acronyme qui associe le Brésil, la Russie, l’Inde, la Chine et l’Afrique du Sud. Dans le même temps, les différends territoriaux entre la Chine et l’Inde sont considérés comme une occasion unique de renforcer la dissuasion par procuration contre la Chine en Asie, mais les dirigeants indiens sont davantage préoccupés par les besoins économiques considérables de leurs populations et, surtout, par le maintien d’une stabilité approximative au sein du pays d’Asie du Sud, afin d’éviter à tout prix le sort du Sri Lanka voisin, qui est confronté à la faillite et au manque de produits de base vitaux comme le gaz

    Traduit avec http://www.DeepL.com/Translator (version gratuite)

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