De l’utilité des lutteurs à mains nues ou avec des gourdins en géostratégie appliquée: l’exemple des bastonnades sino-indiennes en haute altitude dans un décor à couper le souffle en est un.

Cette image ci-dessus, ressemble aux nombreux bas-reliefs et autres fresques de batailles antiques retrouvés en Asssyrie, en Egypte ancienne, en Grèce antique et dans l’ancienne Rome.
Les militaires chinois et indiens se sont entendus pour régler leur différend frontalier sans aucune arme létale. Seule la mêlée est autorisée.

Dans ces conditions, il faut disposer de bons lutteurs et de boxeurs. Problème qui semble résolu depuis que les deux puissances nucléaires et démographiques asiatiques, totalisant à elles seules une masse humaine avoisinant les trois milliards d’âmes (et entre 2500 et 3000 ogives nucléaires, chiffres officieux à l’appui d’une fourchette jugée basse) ont ramené au front des spécialistes du combat au corps à corps. Il faut dire que les deux pays disposent d’une très solide tradition en matière d’arts martiaux.

Les boxeurs de Shaolin et les lutteurs manieurs de gourdins du Lathi khela se sont rentrés dessus dans quelques mêlées mémorables où les coups ont pleuvoir plus dru que lors d’une averse subite. Quand le poing, le genoux ou le gourdin ne donnent pas de résultat probant, l’une des deux parties belligérantes dévoile une autre arme non létale : celle du son. À certaines fréquences et à hauts décibels, cette arme sonique démoralise un bataillon complet bien plus vite qu’une mêlée furieuse. Même enregistré, ce son strident a les capacités d’endommager le peu qui nous reste de cervelle active.

Techniquement, c’est imparable. C’est une arme qui ne tue pas. Donc permise dans ce duel géostratégique en altitude. Après la castagne, la bastonnade, la mêlée, voilà l’arme sonique. Les soldats indiens en eu beau tenter de s’en prémunir avec des kits auditifs de protection. Rien n’y fit. Les chinois ont mis le paquet en matière de nuisance sonore.
Les généraux peuvent cependant dormir un peu plus tranquillement. Il suffit juste de s’assurer via les officiers subalternes qu’aucun chargeur ou munition vivante ne puissent être à la disposition de la troupe. Chose impossible à Hollywood où un acteur risque de tirer à balle réelle sur un plateau de tournage.
Détail assez intéressant, les fusils non chargés sont autorisés pour les coups de crosse. Les canifs ou autres objets contondants sont proscrits et passibles d’une cour martiale ad-hoc.
Cette méthode de régler des disputes territoriales est assez intéressante à plus d’un titre. Imaginez un seul moment si ce procédé avait été utilisé lors de la Première Guerre mondiale. Les Asiatiques disposent assurément d’une sagesse qui manque ailleurs.
Tous les politiques devraient régler leurs comptes à coups de gourdin. Non seulement on sera débarrassés d’une bonne partie de cette canaille mais cela éviterait bien des massacres d’innocents et autres boucheries inutiles déguisées en frappes chirurgicales.
8 thoughts on “De l’art de la mêlée en haute altitude”
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le mieux serait d’organiser ce genre de combat entre les décideurs politiques, on pourrait même y tolérer les armes blanches.
Sans oublier que cette méthode permet d’economiser des milliards de dollars.
Ça n’arrange pas la secte des juifs sionistes et toute leurs industrie d’armement.
En reponse à almoravide.
Il faut être un pays souverains,et un dirigeant qui n’est pas aux service des juifs sioniste pour accepter de s’affronter sans arme.
Au moins nous on est diriger par la maison mére, vous vous etes diriger par la succursale française 😉
J’invite l’algérienpur, chaoui & co à venir se présenter à la frontiére algéro-marocaine. Nous allons régler nos différents dans une castagne mémorable 🙂
Ave Rohès morituri te salutant
.
Et les combats de singes, comme les chimpanzés, les babouins et autres :
(commentaires Allah con à mettre en sourdingue)