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11 thoughts on “Un peu de ménage”
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« Pourquoi voiyez-vous une paille qui est dans l’œil de votre frère, lorsque vous ne vous apercevez pas d’une poutre qui est dans votre œil ? » (Luc, 6, 41)
Homo sapiens devrait faire le ménage dans son propre cerveau, tirer des leçons de son activité passée, faire un bilan et évaluer son action désastreuse sur lui-même et son milieu extérieur depuis la nuit des temps. Trop de séparations, de rationalisations, l’ont littéralement vidé de sa substance vivante ; homo sapiens traite lui-même et la nature comme des ennemis qu’il faut soumettre à tout prix ; tout est miné et conduit à ce cul-de-sac existentiel. Plus rien ne marche et plus rien n’est cru.
Qui ne se souvient du néologisme Populicide forgé par le révolutionnaire français Gracchus Babeuf pour qualifier la guerre de la République contre la Vendée ? Certainement pas les divers ex-gauchistes, maoistes ou trotskistes, qui se souviennent peut-être que Marx a qualifié le mouvement de Babeuf de « la première apparition d’un parti communiste réellement agissant. ». Donc ces bien-pensants, considèrent que les gueux dits jaunes sont factieux, séditieux, fascistes, racistes, antisémites, violents, homophobes, complotistes et j’en passe, bien. Il convient donc de traiter ce peuple qui ose se révolter contre ces révolutionnaires comme il convient : par des armes de guerre et de la TNT, les comparutions immédiates et la prison ferme, le mensonge et la falsification, l’éborgnage et l’arrachage des mains. Bref, appliquer ce que l’on prétend combattre : « ¡Viva la muerte! ».
D’autres mauvais sujets, estimaient à d’autres époques de troubles que : « L’ennemi principal est dans notre pays ! »
https://www.marxists.org/francais/liebknec/1915/liebknecht_19150500.htm
Mais l’Immonde, estime lui dans cet article :
https://www.lemonde.fr/international/article/2019/02/25/le-ministre-des-affaires-etrangeres-iranien-annonce-sa-demission_5428220_3210.html
que :
« M. Zarif a annoncé son retrait, lundi, après avoir été tenu à l’écart d’une visite à Téhéran du dictateur syrien Bachar Al-Assad, qui venait prêter allégeance pour la première fois depuis 2010, au terme d’un conflit auquel son allié iranien lui a permis de survivre. Le ministre n’avait pas assisté à sa rencontre avec le Guide suprême, Ali Khamenei, ni avec le président Rohani. »
Admirez, je vous prie, l’objectivité et l’esprit de finesse de cet extrait, où, mine de rien, on affirme comme si cela allait de soi que :
1) Bachar=Dictateur
2) Ce Dictateur venait prêter allégeance au mauvais perse.
Après ce mauvais post, je veux finir avec une note positive, en citant un autre passage de Hegel sur l’Amour :
« Il n’y a de véritable union, d’amour proprement dit qu’entre des vivants de puissance égale, qui sont donc entiérement vivants les uns pour les autres, qui ne présentent aucun aspect mort les uns pour les autres à aucun point de vue. L’amour exclut toutes les oppositions. Il n’appartient pas à l’entendement dont les relations laissent toujours subsister le divers en tant que tel et dont l’unité elle-même est faite d’oppositions. L’amour n’est pas comme la raison dont le pouvoir déterminant s’oppose au déterminé. L’amour ne limite rien, n’est rien de limité, rien de fini. C’est un sentiment, mais non un sentiment particulier. »
justement faisons le ménage!:
un citoyen ordinaire qui souhaite l’extinction pure et simple de votre classe de merdeux racistes et de parasites sociaux !
bien, je pense qu’il est grand temps de mettre les points sur les I !, bien que vous (ils se seront bien entendu reconnus) contrôliez 99,9% (il s’agit, vous l’aurez compris, des membres du gang de voleurs qui appartient au 0,1% d’arnaqueurs patentés qui imposent aux monde entier leur dictature !) des medias importants (il s’agit de ces 4 ou 5 merdeux, multimilliardaires, inutile de se demander comment ils nous ont volés tout ce pognon, mais bien comment, et depuis combien d’années ils nous l’on volé !, et grâce et ces vols, ces petits malins contrôlent tous les groupes de médias importants : journaux (les pires torchons que l’ont puissent imaginer !), une profusion de chaines télés ou radios (souvent d’Etat, c.-à-d., payées avec notre pognon !) et une multitude de sites “sociaux” (et bien d’autres moyens à leur portée), pour produire l’arnaque : asticot 1er, c.-à-d., l’ennuyeux macron, qui conduit inexorablement notre cher pays à la soumission totale des diktats européistes (de l’UE, institution juridiquement et institutionnellement, anti-démocratique !) et aux Etats-Unis d’Amérique du nord, dont on ne compte plus (tellement ils sont nombreux) les crimes de guerres et contre l’Humanité (et de tous les salopards du 0,1%, qui aurait soi-disant gagné leur guerre de classe)… et dans un article qui se veut, ou se voulait “objectif”, « le Monde diplomatique », publie une abondante liste d’injures et de menaces en tous genres (surtout de mort) contre les Gilets jaunes, dont les auteurs devront en répondre (et de multiples manière, car pour certaines injures et menaces, il ne s’agit pas du tout de menaces en l’air, mais bien de menaces réelles, et cette mise en demeure, parfaitement légale et solennelle, après bien entendu la prise du pouvoir par le peuple français, c.-à-d., prise du pouvoir du peuple, par le peuple et pour le peuple.
Voici donc, quelques belles saloperies émises par les larbins d’un pouvoir autoritaire à la dérive, d’un racisme virulent envers le peuple français, issues d’un dictatorial :
Extrait d’un article paru sur le site « le Monde diplomatique », et intitulé « Lutte de classes en France » :
« … Ce genre de décomposition de la classe possédante est rare, mais il a pour corollaire une leçon qui a traversé l’histoire : ceux qui ont eu peur ne pardonnent ni à ceux qui leur ont fait peur ni à ceux qui ont été témoins de leur peur (2). Le mouvement des « gilets jaunes » — durable, insaisissable, sans leader, parlant une langue inconnue des institutions, tenace malgré la répression, populaire malgré la médiatisation malveillante des déprédations — a donc provoqué une réaction riche de précédents. Dans les instants de cristallisation sociale, de lutte de classes sans fard, chacun doit choisir son camp. Le centre disparaît, le marais s’assèche. Et alors, même les plus libéraux, les plus cultivés, les plus distingués oublient les simagrées du vivre-ensemble.
Saisis d’effroi, ils perdent leur sang-froid, tel Alexis de Tocqueville quand il évoque dans ses Souvenirs les journées de juin 1848. Les ouvriers parisiens réduits à la misère furent alors massacrés par la troupe que la bourgeoisie au pouvoir, persuadée que « le canon seul peut régler les questions [du] siècle (3) », avait dépêchée contre eux.
Décrivant le dirigeant socialiste Auguste Blanqui, Tocqueville en oublie alors ses bonnes manières : « L’air malade, méchant, immonde, une pâleur sale, l’aspect d’un corps moisi (…). Il semblait avoir vécu dans un égout et en sortir. Il me faisait l’effet d’un serpent auquel on pince la queue. »
Une même métamorphose de la civilité en fureur s’opère au moment de la Commune de Paris. Et elle saisit cette fois de nombreux intellectuels et artistes, progressistes parfois — mais de préférence par temps calme. Le poète Leconte de Lisle s’emporte contre « cette ligue de tous les déclassés, de tous les incapables, de tous les envieux, de tous les assassins, de tous les voleurs ». Pour Gustave Flaubert, « le premier remède serait d’en finir avec le suffrage universel, la honte de l’esprit humain ». Rasséréné par le châtiment (vingt mille morts et près de quarante mille arrestations), Émile Zola en tirera les leçons pour le peuple de Paris : « Le bain de sang qu’il vient de prendre était peut-être d’une horrible nécessité pour calmer certaines de ses fièvres (4). »
Autant dire que le 7 janvier dernier, M. Luc Ferry, agrégé de philosophie et de science politique, mais aussi ancien ministre de la jeunesse, de l’éducation nationale et de la recherche, pouvait avoir en tête les outrances de personnages au moins aussi galonnés que lui lorsque la répression des « gilets jaunes » (lire « Des violences policières aux violences judiciaires »), trop indolente à ses yeux, lui arracha — sur Radio Classique… — cette injonction aux gardiens de la paix : « Qu’ils se servent de leurs armes une bonne fois » contre « ces espèces de nervis, ces espèces de salopards d’extrême droite ou d’extrême gauche ou des quartiers qui viennent taper du policier ».Puis M. Ferry songea à son déjeuner.
D’ordinaire, le champ du pouvoir se déploie en composantes distinctes et parfois concurrentes : hauts fonctionnaires français ou européens, intellectuels, patrons, journalistes, droite conservatrice, gauche modérée. C’est dans ce cadre aimable que s’opère une alternance calibrée, avec ses rituels démocratiques (élections puis hibernation). Le 26 novembre 1900 à Lille, le dirigeant socialiste français Jules Guesde disséquait déjà ce petit manège auquel la « classe capitaliste » devait sa longévité au pouvoir : « On s’est divisé en bourgeoisie progressiste et en bourgeoisie républicaine, en bourgeoisie cléricale et en bourgeoisie libre-penseuse, de façon à ce qu’une fraction vaincue pût toujours être remplacée au pouvoir par une autre fraction de la même classe également ennemie. C’est le navire à cloisons étanches qui peut faire eau d’un côté et qui n’en demeure pas moins insubmersible. » Il arrive cependant que la mer s’agite et que la stabilité du vaisseau soit menacée. Dans un tel cas, les querelles doivent s’effacer devant l’urgence d’un front commun.
Face aux « gilets jaunes », la bourgeoisie a effectué un mouvement de ce type. Ses porte-parole habituels, qui, par temps calme, veillent à entretenir l’apparence d’un pluralisme d’opinions, ont associé d’une même voix les contestataires à une meute de possédés racistes, antisémites, homophobes, factieux, complotistes. Mais surtout ignares. « “Gilets jaunes” : la bêtise va-t-elle gagner ? », interroge Sébastien Le Fol dans Le Point (10 janvier). « Les vrais “gilets jaunes”, confirme l’éditorialiste Bruno Jeudy, se battent sans réfléchir, sans penser » (BFM TV, 8 décembre). « Les bas instincts s’imposent au mépris de la civilité la plus élémentaire », s’alarme à son tour le roturier Vincent Trémolet de Villers (Le Figaro,4 décembre).
Car ce « mouvement de beaufs poujadistes et factieux » (Jean Quatremer), conduit par une « minorité haineuse » (Denis Olivennes), est volontiers assimilé à un « déferlement de rage et de haine » (éditorial du Monde) où des « hordes de minus, de pillards » « rongés par leurs ressentiments comme par des puces » (Franz-Olivier Giesbert) donnent libre cours à leurs « pulsions malsaines »(Hervé Gattegno). « Combien de morts ces nouveaux beaufs auront-ils sur la conscience ? », s’alarme Jacques Julliard.
Inquiet lui aussi des « détestations nues et aveugles à leur propre volonté », Bernard-Henri Lévy condescend cependant à signer dans… Le Parisien une pétition, agrémentée des noms de Cyril Hanouna, Jérôme Clément et Thierry Lhermitte, pour inviter les « gilets jaunes » à « transformer la colère en débat ». Sans succès… Mais, Dieu soit loué, soupire Pascal Bruckner, « la police, avec sang-froid, a sauvé la République » contre les « barbares » et la « racaille cagoulée » (5).
D’Europe Écologie – Les Verts (EELV) aux débris du Parti socialiste, de la Confédération française démocratique du travail (CFDT) aux deux animateurs de la matinale de France Inter (un « partenariat de l’intelligence », au dire de la directrice de la station), tout un univers social s’est retrouvé pour pilonner les personnalités politiques bienveillantes envers le mouvement. Leur tort ? Attenter à la démocratie en ne se montrant pas solidaires de la minorité apeurée. Comment contrer de tels gêneurs ? User d’une vieille ficelle : rechercher tout ce qui pourrait associer un porte-parole des « gilets jaunes » à un point de vue que l’extrême droite aurait un jour défendu ou repris. Mais, à ce compte-là, devrait-on aussi encourager les violences contre des journalistes au motif que Mme Marine Le Pen, dans ses vœux à la presse, voit en elles « la négation même de la démocratie et du respect de l’autre sans lequel il n’est pas d’échange constructif, pas de vie démocratique, pas de vie sociale » (17 janvier) ?
Jamais le sursaut du bloc bourgeois qui forme le socle électoral de M. Emmanuel Macron (6) ne s’est dévoilé aussi crûment que le jour où Le Monde a publié le portrait, empathique, d’une famille de « gilets jaunes », « Arnaud et Jessica, la vie à l’euro près » (16 décembre). Un millier de commentaires enragés ont aussitôt déferlé sur le site du journal. « Couple pas très futé… La vraie misère ne serait-elle pas, dans certains cas, plus culturelle que financière ? », estimait un lecteur. « Le problème pathologique des pauvres : leur capacité à vivre au-dessus de leurs moyens », renchérissait un second. « N’imaginez pas en faire des chercheurs, des ingénieurs ou des créateurs. Ces quatre enfants seront comme leurs parents : une charge pour la société », tranchait un troisième. « Mais qu’attendent-ils du président de la République ?, s’insurgeait un autre. Qu’il se rende chaque jour à Sens pour veiller à ce que Jessica prenne bien sa pilule ?! » La journaliste auteure du portrait chancela devant ce « déluge d’attaques » aux « accents paternalistes » (7). « Paternalistes » ? Il ne s’agissait pas, pourtant, d’une dispute de famille : les lecteurs d’un quotidien réputé pour sa modération sonnaient plutôt le tocsin d’une guerre de classes.
Tous ces abrutis à la solde du pouvoir, sont évidemment cités présentement et devront répondre de leurs ignobles déclarations devant le peuple français…, à bon entendeur !
@ Anonymes
26/02/2019 à 9 h 57 min
D’après mes contacts sur place les algériens et ( organisateurs ) de ces manifestations sont conscients de ne pas se laisser entraîner dans des dérapage pouvant survenir par des extrêmes des infiltrés aux services de l’étranger .
Ces mouvements sociaux ont beaucoup de similitudes avec les gilets jaunes.
Les réseaux sociaux est l’interconnexion qu’utilisent beaucoup de gens et me bouche à oreille fait le reste.
Maintenant comme nous savons tous , tout peux malgré les bonnes intentions de l’ensemble des manifestants, partir en vrille suite à des troubles orchestré par des agents espions infiltrés aux services d’officines étrangères .
Mais malgré cela a mon humble avis la mayonnaise ne prendra pas malgré tout.
Cordialement
Oui mais le régime ne veut rien entendre.
La population est bien plus consciente que les dinosaures au pouvoir.
Cordialement.
Pareil pour l’Algérie.
L’espace à horreur du vide.
Mais le vide parfois est meilleur à des choix imposés .
Concentrons nous dorénavant sur l’essentiel.
Merci Strategika51 et à vôtre équipe .
Merci à vous Someone !
vu les 2 articles precedents sur l Algerie voila l evenement du jour la bas
https://www.tsa-algerie.com/fac-centrale-dalger-debut-de-la-manifestation-contre-le-5e-mandat/
ca va prendre plus d ampleur a ce train la entre les debuts des hostilités a Idlib et les manif sans precedents en Algerie et l actualité au Venezuela …………….j espere qu il n y aura pas de trop de casse chez tous car en définitive c est tjr le peuple qui trinque
Pareil en ce qui nous concerne, pas de pub du tout. Toutes les réussites par la suite à vous.
@Strategika51&Co
Merci pour tous vos efforts afin de rendre le site non seulement des plus intéressants mais également convivial.
Plein d’énergie et de lumière,
Bien à Vous et aux Vôtres,
Marc Edmond
moi j’ai deux pub pour WordPress !
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idem chez moi…