La production de films de science-fiction accompagne souvent l’avancement du programme spatial officiel ou l’inverse.

On se rappelle l’immense influence de Stanley Kubrik sur la perception de la conquête spatiale US.

Pour la Chine, la thématique d’un nouveau film de science-fiction (“The Wandering Earth” que l’on peut approximativement traduire par “Terre en perdition” ou “Terre errante”) reprend l’esprit sous-jacent du programme spatial chinois, qui est basé sur une éventuelle migration de l’espèce humaine vers d’autres planètes après la destruction de la terre dans le très long terme.

Les notions d’une migration de l’humanité vers d’autres planètes et la nécessité d’exploiter des ressources extraterrestres sont officiellement soutenue par l’État chinois.

Dans ce film, un groupe de Taikonautes est chargé d’une mission consistant à rechercher et à identifier une planète d’accueil pour l’humanité après la découverte de graves anomalies dans le soleil susceptible d’entraîner sa transformation en étoile éteinte.

Bref, la Chine est en train de suivre l’exemple des États-Unis dans ce domaine.

Reste plus qu’a espérer que tous les programmes spatiaux officiels ne sont pas des productions cinématographiques servant à une propagande de prestige.

9 thoughts on “Un nouveau film de S.F chinois décrit l’histoire d’un groupe de Taikonautes recherchant une autre planète d’accueil

  1. en ce qui concerne homo sapiens , darwin en est bien un et ceux qui le suivent au vu de sa tete sont comme lui , des primates , l’évolution des espèces , quel mensonge , faut’il arriver du niveau de primate à plus pour faire des armes de l’horreur , guerres , complot , le mal et cela est vaste sur la terre et après vouloir aller dans l’espace et coloniser d’autres planetes ou vivent d’autres peuples et les exterminer et faire comme ils l’ont fait sur la terre , non , l’espace est interdite à jamais pour ces béliqueux et il y en a des millions de mondes ou il y a des millions d’adam , mais ils n’ont pas iblis chez eux, ce n’est que sur cette terre ou il y a le feu , la terre et la lumière .
    et la lumière est partout dans l’univers de dieu l’unique , le seigneur des univers .
    ce qui est étrange est que des illustré de bd très anciens se vendent très cher et qui en sont les acheteurs ? , et pour quoi , y a t’il des secrets dans ces bd très anciens .

  2. Si tout les peuples du monde s’étaient unis autour d’un projet commun, comme rechercher une éventuelle planète habitable dans notre système solaire proche, il y’aurait peut être pu avoir des résultats positifs et on aurait peut être pu franchir pour la première fois la ceinture de van allen qui nous maintient prisonnier sur Terre ! Mais au jour d’aujourd’hui, les peuples travaillent pour se dominer les uns les autres, créer des armes de plus en plus destructrice…Le résultat est connu d’avance, l’autodestruction de l’espèce humaine est assurer, que ce soit dans les prochains mois ou les prochains siècles !

  3. BSM
    Comment peut-on aimer les hommes et ne pas aimer qu’ils rêvent, même quand le rêve est celui d’un faussaire ?
    Comment peut-on aimer la littérature et vouloir brider l’imaginaire ?
    C’est aimer l’aigle et ne pas aimer son envol et son vol.
    Aimer l’oiseau et le maintenir encager ! Voi(s)là la peur, voi(s)là le signe de la maladie, voi(s)là la crainte d’être pour soi-même un pont ; voi(s)là un point d’ancrage du pouvoir : ne pas pouvoir et ne pas vouloir qu’un autre puisse. Alors l’énergie pour le rêve est utilisé comme énergie pour le contrôle, l’énergie pour l’exploration de l’horizon est utilisée comme énergie pour son repliement, pour son confinement. Ce que chacun constate : la vie se déploie et ne cesse de se déployer sous la figure du même et du multiple. Dans tous les lieux où elle paraît ne pas être mais où elle est passée au moins une fois (déserts, eaux et terre gelées…) elle semble laisser des traces qui attendent les conditions pour un nouveau foisonnement.
    Celui qui aime Icare, devrait aimer Dédale le constructeur de labyrinthe encore plus. Pourvoir d’une paire d’ailes celui qui veut rêver, prévenir des dangers mais ne pas attacher une corde et lui laisser la liberté d’explorer.
    La crise systémique du bloc où le soleil se meurt est peut-être aussi une crise de l’imaginaire, de rêves émoussés. Le pouvoir d’achat n’est pas un rêve. La confusion des genres, l’indifférenciation des sexes ou le désir du même, n’est pas un rêve. La soumission et l’extermination en masse de pauvres gens n’est pas un rêve.
    Les chinois ont raison d’offrir ce rêve de conquête et d’évasion à leur peuple, à l’humanité. C’est la preuve que cette civilisation millénaire se réinvente une nouvelle adolescence, c’est la preuve d’une santé nouvelle.
    Le rêve impérial du bloc où le soleil se meurt est un rêve d’impuissants, de dépressifs qui auraient aimé ne pas être nés, qui auraient aimés être nés de leur nombril et qui oscillent entre l’amour et la haine ce qui les conduit à la destruction de tout ce qui n’est pas artefact jusqu’à devenir eux-mêmes artefacts et ils ne seront heureux que lorsque la plage sera vide et face à la mer un robot assis sur le banc, l’air pensif semblant se demander : qui suis-je ? D’où-viens-je ? Où vais-je ?
    Le rêve impérial du bloc où le soleil se meurt, c’est le rêve de celui qui aime l’aigle mais qui n’aime pas son envol et son vol. Il l’encage.
    Sciences et littérature ont un ami commun : il s’appelle l’imaginaire. Leur espace de déploiement est tout ce qui s’offre aujourd’hui au regard ou qui s’offrira ou qui s’est déjà offert, c’est tout ce qu’il sera capable de nommer un jour. Mais Sciences et littérature doivent définir un sacré : l’Homme.
    Cependant dans le bloc où le soleil meurt l’Homme devient jour après jour un sac vide, sans organe.
    Bientôt les acteurs du grand banditisme- euh non !..du grand capital, du grand capital et non du grand banditisme, c’est pas la même chose, il faut pas confondre un capitaliste et un bandit, il faut pas confondre- donc bientôt les acteurs du grand capital organiseront des concours, le gagnant sera celui qui aura réussi à gaver le plus rapidement son consommateur, puis il le videra pour recommencer le lendemain jusqu’à son obsolescence programmée…
    Hem … !

  4. L’homme est né sur la terre et il y mourra, tel est son destin, du moins relativement à sa forme d’existence terrestre , soit dit pour ne pas mécontenter les croyants. Toutes ses idées folles sur la colonisation d’autres planètes sont tissées avec des fils invisibles que l’on voit seulement en rêve. On peut tourner de belles images et déraisonner pendant deux heures à leur propos, il n’en restera pas moins vrai que nous retournerons à cette poussière terrestre d’où nous sommes sortis. Même l’alunissage est une mascarade risible. Le regretté André Leroi-Gourhan, avait, dans son Le geste et la parole, diagnostiqué que le déverrouillage des lobes pré-frontaux (siège de l’imagination) chez homo sapiens, constituait une discontinuité porteuse de démesure. Nous y sommes. Mais aussi vrai que les dieux rendent fou celui qu’ils veulent perdre, le paradis terrestre que l’homme n’a pas su préserver deviendra son cimetière.

  5. Ben si ! À défaut d’être vraiment sérieuse, cette histoire de cinglés qui migrent sur d’autre planètes comme on prendrait le métro gratos pour quitter New-York dévastée est typique de la sous-culture US à l’ère de la chute du QI occidental. Il n’en restera que des films, la plupart idiots – ce qui convient parfaitement.
    Ceux qui y croient sont les mêmes qui veulent aussi sauver la planète.
    Or – merci pour elle – elle va très bien. C’est plutôt l’humanité qu’il faudrait sauver, encore que …. Les religions y ont parfaitement échoué.
    Sapiens est un destructeur d’écosystème depuis qu’il est apparu sur terre. Sapien-sapiens – AKA le consortium bancaire – est, quant à lui, destructeur de sapiens destructeur d’écosystème. Ça s’appelle de la justice immanente
    Mais quelle planète raisonnable voudrait d’une humanité aussi débile ?

    1. « Mais quelle planète raisonnable voudrait d’une humanité aussi débile ? »
      Vraiment un excellent commentaire et il y en a peu, à part les miens, bien entendu…
      En fait le capitalisme pourrait être considéré comme le cancer de cette humanité, qui n’a au fond que ce qu’elle mérite !
      Il ne nous reste plus qu’à attendre le grand feu d’artifice pour terminer l’histoire en beauté et laisser aux insectes sociaux la place qui leur échoit sur cette planète.
      Game over…

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